Le-Scaphandrier

Les Assiettes du Palombaro.

Comme je le dis et le répète volontiers « on peut être Palombaro, on n’en a pas moins envie de se mettre à table ».

Surtout qu’il s’agit d’une profession ou tous les collègues que j’y ai rencontré étaient d’ardentes fourchettes.

Partant de là ils sont souvent des cuisiniers portés sur la réalisation de mets d’origines souvent rurales. 

De ces régions que nous avons parcourues pour y effectuer des travaux publics sous marins, dit TPSM.

Lesdites régions d’où nous viennent tous les produits de bases pour obtenir une gastronomie agréable au sein d’une nourriture saine et, néanmoins abondante.

Car le scaphandrier qui sort de plusieurs heures de travail dans de l’eau froide et turbide, il a les dents en avant.

Aussi j’ai pensé que de temps en temps et sachant que me voyant avancé dans l’automne de la vie, vous mes amis deviez vous dire :

-        Où en est-il lui qui a écrit l’un des se premiers ouvrages 

« À table Scaphandriers ! »

Alors quittant, pour les Vieux Scaf le masque Squale ou pour les jeunes le Kirby Morgan en voilà quelques exemplaires en images seulement :

-        L’omelette aux fines herbes du jardin.

-        Des dos de cabillaud, au four et pommes de terre légèrement grillées.

-        Une queue de lotte à l’armoricaine et au riz blanc.

-        Des magrets de canard avec un confit d’oignons doux des Cévennes.

-        Du lapin aux pruneaux et pomme de terre sautées et à la vapeur.

-        Une joue de bœuf aux carottes et purée de céleri.

-        Une salade de tomates fraîchement cueillies ce matin, à l’heure, ou blanchit la campagne, dans le jardin des confinés.