Nouvelles d'épaves.
Des Épaves inconnues ? Je vous en parle…
Je relève l’intérêt que portent les lecteurs de mon blog lorsque j’évoque certaines épaves et ce que j’en décris. Voir dernièrement mon B 26 de Porquerolles et bien plus loin, le sous marin de poche allemand.
Certaines d’entre elles peuvent voir une page mystérieuse s’entrouvrir, sous forme d’une « Nouvelle » issue à chaque fois d’une base historique.
Et, ce sont surtout celles là qui occasionnent le plus de visites.
Nombre d’entre vous m’envoient des mails pour obtenir plus de précisons et il m’est souvent difficile de leur répondre
Alors…pourquoi ? Pour deux raisons très simples
- Ce que je conte est souvent le fruit de confidences, rumeurs, histoires lointaines recueillies sur les ports et souvent autour de quelques petits jaunes bien frais accompagnés d’olives. Aussi autour d’une table où je retrouve nombre d’amis dont certains perdus de vue et qui ont, comme moi maintenant à la retraite, le temps de discuter. Plongeurs, scaphandriers, corailleurs, en fin de repas autour d’une daube de sanglier des Cévennes, c’est à qui racontera des histoires d’épaves souvent picaresques, quelquefois sulfureuses ou égrillardes.
- C’est alors qu’à mon tour, en entendant tout cela, mes neurones se mettent en état de fission. Et sur une base toujours historique, bien que largement diluées, elles vont embellir ces récits, les transformer et vous les rendre en fin de compte très agréable à lire. D’où mon succès.
Mais on peut y ajouter le terme souvent utilisé SGDG (Sans Garanti du Gouvernement) et encore moins de l’auteur.
Pour rendre le tout plus attrayant je vais chercher des images que mon épouse transforme par un savant graphisme.
À titre d’exemple vont suivre au gré de ma mémoire :
Le Retour du Mustang P 51 du 29 avril 1944… disparu.
Une émeraude du Tasmania.
Un P 47 qui aurait du servi de repère au trésor du Tedeschi.
L’épave aux chevaux destinés pour la guerre de Crimée.
Un navire Atlante à Six fours…
La galère de Tauroentum.
Le Pescador di Luna…va-t-il existé ?
Et quelques autres qu’il me faut retrouver, va savoir où ?
À force d’y penser, je vais m’acharner et trouver quelques uns de ces récits à vous conter.
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