Le Scaphandrier du Brusc
Dans l’île des Embiez, au phare du Rouveau, sur les récifs des Magnons…
C’est l’un de mes livres relatant mes aventures vécues dans ce petit port de pêche de l’ouest varois.
Après ma vie scaphandrière à la Sogétram et mes plongées dans la Marine je me suis retrouvé en 1957 sur la côte afin d’y exercer notre profession.
Les débuts furent difficiles. À tel point que notre subsistance fut longtemps assurée par la chasse sous marine.
Heureusement le poisson foisonnait, actuellement nous serions morts de faim.
Notre premier travail consistait à récolter des spirographes et des étoiles de mer que nous revendions à un laboratoire parisien pour des universités.
Après nous avons finit par avoir un chantier de travaux sous marins à Toulon.
L’administration tardant à nous payer, ces travaux ayant lieu dans le port nous revenions le soir avec notre Juvaquatre
croulant sous le poids et dégoulinant de l’eau de mer des sacs de moules qui allaient finir dans les girolliers de nos amis pêcheurs en échange d’une daube provençale ou autre plat roboratif…
L’un d’entre eux, en particulier, que nous dépannions quand sa ligne de piadiers était prise au fond, sur une roche où…sur une mine heureusement d’exercice.
C’est par lui que j’ai appris que le Grand St Antoine ce navire qui amena la peste en 1720 avait mouillé au Brusc avant de rallier Marseille.
Voir pages humoristique décrivant comment un animateur local faisait découvrir le gout des anémones de mer à des touristes Bobos sans les prévenir du côté urticant lors de la capture de ces bestioles…
Aussi la bizarre récupération du moteur d’une vedette incendiée avec quelques problèmes d’assurances.
Sous forme d’un conte provençal mais sur une base historique véritable les aventures de Dagobert le phoque moine.
Il y a aussi l’épave des pavés de granit certainement destinés à la ville Marseille.
Premiers plongeurs sur la pierre de Mouret nous y avons décroché le filet d’un ami pêcheur qui nous remercia de nos peines en nous offrant une belle langouste.
Comment nous séduisions les belles touristes en leur faisant vivre l’aventure de Robinsons varois.
Ce qui me valut la dernière fois de découvrir celle qui est mon épouse et comment cette fois là nous étions devenus « Les fiancés du grand Rouveau »
Avec quelques chapitres sur l’environnement, la forêt de Janas avec ses perdreaux et bécasses, ses champignons, ses sources et ses sentiers qui nous menaient la haut à notre dame du cap Sicié.
Et le meilleur pour la fin comment nous avons transformé par nos présences renouvelées, quelquefois tapageuses, le restaurant « Le Provençal »
de nos mais Ranucci à Sanary qui est maintenant connu comme Restaurant des plongeurs et des Scaphandriers.
En attendant pour passer un bon moment sur 150 pages, vous pouvez commander cet ouvrage :
- Chèque de 17 € (15 € + port 2 € ) à l’ordre de :
Gérard Loridon
722, chemin des Hoirs.
83140 SIX FOURS les Plages.
Dédicace personnalisée sur demande.
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